plus rien...

J'ai toujours aimé cette endroit. Glauque et sinistre, il a toujours biens refleter mon âme. Serait-je également glauque? Surment. Enfin se serait une logique trop logique. Longeant se même ponton, je me laisse choir au bout, mes pieds s'arrêtant à quelques centimètre de se qui aurait du être l'eau. Bien qu'aujourd'hui, il n'en reste plus une goûte. J'aimerais comprendre ce qui s'est passer. Malheureusement, je ne crois pas que je comprendrai un jour. DE tout façon sa ne changerait rien. LE monde ne sera plus jamais comme autrefois, c'était clair, non? Les hommes et les femmes restant dans le monde sont-ils là par hazard? je ne crois pas. De toute façon, a quoi bon me questionné comme un idiote puisque je sais que je n'aurais pas de réponse? Je plonge mes yeux vert dans l'océan vide devant moi.

Diego était assit contre un arbre, fixant le sol au vert ternit. Ses doigts pianotait sa cuisse comme s'il cherchait à se souvenir de quelque chose. Sous chacun de ses souffles, un nuage de brume s'envole pour mourir au dessus de lui. La brise ne souffle qu'un air glacée, aussi froid que la ville éteinte. Pourtant, Diego si sent bien, comme si la mort était finalement son élément premier. Il avait alors entendu des pas se qui l'avait sortit de ses pensées. Appuyé sur ses mains pour s'avancer le haut du corps, il jeta un coup d'œil vers le bruit de bois grinçant. Une jeune femme était appuyé contre et lui tournait le dos. il n'avait pas vu énormément de femme depuis ce matin là, une, peut-être deux. Il hésita à bouger. si elle ne l'avait pas vue, peut-être partirait-elle sans même lui prêter attention. Diego n'aime pas approcher les gens, il les laissent faire . Timide ? Non, juste la peur de l'autrui, une peur qu'il avait refoulé avec le temps. A présent il semblait s'en être plus ou moins libéré, bien que se ne fut pas encore ça !

Pas un bruit, pas un frôlement, J'.étais bercer par ma propre respiration. Je pouvais sentir le regard de l'homme sur moi, sur ma peau, comme un tison brûlant et fondant sur moi. Un pincement déplaisant que j'avais appris à reconnaitre avec le temps. Un temps écouler depuis trop longtemps. Mais je n'allais pas m'en plaindre. J'Avais apprit a vivre avec un fardeau trop lourd sur mes épaules. Un fardeau qui m'avais obliger a affronter le regard effrayer et dégoûter des autres. Ceux qui n'avait pas pu comprendre...Je m'étais souvent demander a l'époque qui aurait pu comprendre comme il se doit. Me regarder en face et savoir ce que je ressentais. Malheureusement, personne n'avais pu. Et cet personne qui me regardait de loin ne pouvait pas le savoir non plus, pourtant son attitude m'énervait au plus haut point...

" Je sais que vous êtes là..."